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Tahar Hannache, l’un des pionniers oubliés du cinéma algérien, découvre très jeune le septième art avant de se former en France, où il exerce de nombreux métiers et participe à une soixantaine de films auprès de grands réalisateurs. En 1938, il fonde Taha Films, puis revient en Algérie pour filmer les premières vues aériennes de Constantine. En 1952, il réalise Les Plongeurs du désert, première fiction algérienne conservée, censurée à l’époque. Redécouvert grâce au travail de sa fille, il demeure une figure fondatrice du cinéma national.